Le rêve de l'aborigène - partie 1 - juillet 2009 -

C'est un festival au pays de l'ailleurs qui nous emmène sur les traces de la culture aborigène. Pendant trois jours et quasiment trois nuits, les didgéridous résonnent dans la petite vallée d'Airvault, pour le plaisir des petits et des grands. Ces images cherchent à retranscrire les ambiances perçues au moment des différents temps forts de cette fête : Les préparatifs, le spectacle, la méditation, le rêve et le départ reculé.
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Les préparatifs ont lieu bien avant l'arrivée de la majorité des festivaliers. De nombreux exposants sont avant tout des nomades et s'installent sur le site en début de semaine. Progressivement arrivent de curieux bucherons avec des branches d'eucalyptus qui font de la musique. Il arrive aussi des jongleurs, des cracheurs de feu et des maquilleuses. Un véritale village nomade s'installe pour trois jours.

Temps des préparatifs - Rêve de l'aborigène



Puis arrive le temps du spectacle avec une scène magique abritée sous des cèdres du Liban vertigineux. Là, défilent les plus grands joueurs de didgéridous du monde, mais également des chanteurs diphoniques mongols, des danseurs indiens, des joueurs de guimbarde ... Les surprises musicales sont au rendez-vous.

Temps du spectacle - Rêve de l'aborigène



C'est alors que le temps se ralentit, que les esprits se calment. Autour du festival, se tisse une bulle protectrice et bienveillante. Partout le temps de la méditation est à l'oeuvre, chacun se pose et des regards lointains surgissent au milieu de la multitude. Les chants et les musiques se ralentissent et font battre les coeurs à l'unisson.

Temps de la méditation - Rêve de l'aborigène

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