Le Festival Airvault - partie 2 - juillet 2010 -
Au milieu de ce site magnifique chacun peut trouver son rythme sans déranger l'autre. Chacun peut s'isoler sans se couper de la musique, du festival, du rêve aborigène. Cela donne naissance à de petites scènes intimes où les familles et amis se retrouvent ensemble pour discuter, pour manger ou boire un thé. C'est aussi des moments où certains se replient sur eux pour méditer en paix.
Scènes d'intimités - Rêve de l'aborigène
Derrière la scène et le spectacle, les coulisses offrent une vision plus intimiste des artistes. Au delà des préparatifs et du trac, c'est l'occasion de prendre le temps de discuter avec eux, de comprendre un peu mieux leurs itinéraires et leurs démarches artistiques. Les coulisses sont aussi les bénévoles et cuisiniers des nombreux stands.
Les coulisses - Rêve de l'aborigène
Depuis les débuts du festival, en 2001, le nombre d'enfants n'a cessé d'augmenter. Certains sont nés "avec le festival" et y viennent chaque année. Ils ont leurs amis et jouissent d'une liberté quasi totale dans un site fait de pays imaginaires et magiques. Toutes ces petites familles contribuent à la taille humaine et familliale de cette rencontre.
Enfants et enfance - Rêve de l'aborigène
Au milieu de ce calme apparent émergent des mouvements artistiques, comme des danseurs suivant une musique lointaine, des masques africains surgissant de nulle part ou encore des festivaliers en transit à travers le site qui sétale sur plusieurs hectares. Quand vient la nuit, des jongleurs illuminent le site avec des bolasses qui tournoient au rythme de la musique.